Dernière mise à jour : 29/01/2010

Historique de montage
Avro Anson de Airfix
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Montage précédent : HSS1
Montage suivant : NiD 622

Descriptions

Images

On l'a déjà vu quelque part, lui ! Mais oui, il l'a déjà fait version GB (voir Anson) !

C'est vrai ! mais cette fois, je compte bien en faire une version française de l'aéronavale, plus précisément de la 56S.

J'ai obtenu les décalcos de la 56S, et une mini notice avec. Confirmé par les photos, il faut boucher le trou du mitrailleur dorsal, ces avions étant utilisés comme avion école.

Pour ce faire, je place d'abord un carré de blister, collé à la cyano...

... et bloqué à l'intérieur par de la pâte à modeler. cela permettra de ne pas trop charger en mastic dont la surdose risque de ramolir le plastique voisin.

 
Je commence à boucher le trou sur les deux demis fuselage, par petites doses, séchage, re-couche... et je finirai une fois l'assemblage fait.
Je prépare les petites pièces sur grappe, ébarbage, peinture...

Je peins la couleur sur les armitures intérieures sur les hublots. puis, préparation des caches sur les extérieurs.

Oups, j'ai oublié le dessus de la partie avant.

 

Autre différence entre la version GB et la version française est que les capots moteurs n'ont pas ces espèces de verrues sur le pourtour. Avec la mini perceuse équipé qu'une roue abrasive, j'ai commencé par limer ces ergots.

Puis, avec le cutter, je rappe un peu les capots pour les rendre le plus lisse possible. Et je finis avec du papier de verre fin (600 ou 800).

 
Il est temps de monter le poste de pilotage. Il ne faut pas oublier le décalco du tableau de bord (tdb). J'ai rajouter également les palonniers aux pieds du pilote. D'après certaines photos, le manche à balais n'est pas aussi prés du tdb. Je l'ai donc un peu rapproché. J'ai également fini la découpe du cache au dessus du cockpit.
La fixation des fenêtres latérales doit se faire avant le montage de l'intérieur du fuselage. Et ce ne sera pas de la tarte, vu que le collage au Clear Cement n'est pas des plus rapide à sécher. Je me borne donc à assurer la fixation (collage) sur la partie basse du fuselage, le dessus étant trop élastique et léger pour être tenu d'une manière ou d'une autre. Je m'aide un peu avec du ruban adhésif. J'espère qu'il n'arrachera pas tout quand je l'enlèverai.
 
Les trains sont bien étudiés... pour du Airfix ! Un système de pivot permet en effet de les escamoter, ce qui sera bien pratique lors du montage des ailes. Les roues elles-mêmes sont emprisonnées entre deux demis bras et peuvent tourner. les étriers entourent l'axe des roues et sont donc mobiles aussi.
 
Pour l'installation du train, je le place sans coller en position train rentré. L'étrier doit être dirigé vers l'arrière de l'aile, sinon vers l'avant, quand on essaiera de le ressortir, ça risque de bloquer.
 

Après le pré positionnement du volet mobile, il ne reste plus qu'à assembler les ailes. Faut pas lésiner sur les pinces.

Un détail non négligeable : s'il vous arrive de faire tomber le volet pendant l'assemblage, il faudra bien le remettre... ben oui !
Il faut donc penser à ne pas encoller les ailes aux abords des ergots du volet, car lorsqu'on le remet pendant le montage, il risque prendre de la colle et ne plus être mobile.

 
Ils sont pas mignons tous les trois, à leur place ? Cette partie du montage se passe vraiment sans problème majeur ! Je sens que ça ne va pas durer.
 
Déjà, l'assemblage du fuselage me donne des sueurs froides : le plastique est tellement déformé et élastique qu'il me faut pas moins de sept pinces pour arriver à tout tenir (sans compter l'élastique) ! c'est pas gagné !

Entre deux couches de mastic (le temps que ça sèche !), je prépare les caches sur les trains d'atterrissage. des rajouts de petits morceaux sont nécessaires.

Je pense que je ne ferai pas mieux pour la "tourelle". j'ai essayé de rattraper le dessin de la structure... comme j'ai pu ! J'ai des craintes sur la résistance des vitres latérales. Je les ai renforcées derrière, mais pas devant, où c'est le plus délicat.

 
Le premier essai de positionnement du cockpit confirme mes craintes. Les vitres latérales ne tiennent pas bien dans leur emplacement. De plus, le toit a une dérive très prononcées vers la droite. j'essaie de le recaler en tenant l'ensemble avec une pince, mais 24h après, le décalé se remarque et les vitres latérales rentrent vers l'intérieur.

Je redémonte donc. Je consolide les vitres sur l'avant avec une chute de grappe transparente que je colle entre les vitres droite et gauche, à l'avant et proche du plafond.

Encore 24h et je retente la verrière avant, toujours avec les pinces. Le résultat sera bien mieux et seul un décalage du toit vers la droite parait encore légèrement.

 

Il est temps de passer à la mise en croix. Là, bizarrement, l'assemblage est parfait, tant pour l'aile babord que pour l'aileron. ça jointe niquel !

Si l'aile d'un côté est relativement facile à mettre et à laisser sécher, c'est moins facile pour l'autre côté. Une chute de rouleau m'aide bien, n'est-ce-pas ?

 
Une fois la mise en croix terminé, je commence la peinture du dessous et jaune.

La peinture du dessus (vert foncé) sera passé en 2 fois, cause que mon compresseur "SANS CUVE" qui chauffe et s'arrête au bout de 15 ou 20 mn environ... Je prends toujours la précaution de faire une préparation de peinture suffisante (en cas de mélange en particulier) pour avoir toujours le même bain.

Un deuxième passage sera suffisant pour finir le Anson, pour d'autres maquettes, il peut en falloir 3 à 5 selon la surface.

 

Pour la dérive, il y a bien des décalcos, mais je suis toujours embêté par la tranche. Je prends donc le parti de peindre les 3 couleurs au pinceau (en deux couches, surtout pour le blanc).

Restent à faire les finition, à commencer par dégager les trains de leurs caches et les caller en position sortie.

 

L'antenne est un autre moment de grande solitude, surtout quand on a oublié le passage du fil dans la queue des le départ (si ! si ! ça tient mieux :)). Pour le côté antenne, je bloque l'appareil "sur la tranche" et me sers d'une mini pince pour faire poids. La colle peut sécher, le fil restera tendu.

voilà l'Anson de l'aéronavale française fini sur le plan de travail.

 
Fiche finale de l'Avro Anson français
 
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Montage suivant : NiD 622