Descriptions

Je sais, ce n'est pas ce qui est marqué sur la boite ! mais le HSS1 que je compte monter maintenant est la version française du Sea Horse, utilisée par l'aéronavale française.

Si je trouve les bons chiffres en blanc (149), je ferai la maquette de celui que le CAEA (Conservatoire de l'air et de l'espace d'aquitaine) est en train de restaurer.

Après la peinture des petites pièces sur grappes, je commence le montage les éléments intérieurs, sièges avants et passager, tableau de bord... ces derniers sont peints en noir avec drybrush blanc pour faire ressortir l'avionique.

Pour le maintien des banquettes arrières pendant le collage, j'ai du utiliser une cale tenue par une pince.

Les sièges du poste de pilotage sont un peu délicat car faits en 3 morceaux qui ont du mal à tenir ensemble. Il est impératif que les ensembles soient bien collés et secs avant de tenter le montage du poste lui même. A part ça, pas de problème particulier.

Le temps que tout cela séche, je prépare les caches des parties "vitrées".

Et je les place par l'intérieur dans les demis fuselage. Pour les petits hublots carrés, il est nécessaire de retailler un peu les emplacements, sinon, ça ne rentre pas ! J'utilise la colle clear cement de Testor... franchement pratique.

Vue de l'ensemble intérieur, collé dans le demi fiselage droit.

Montage des deux demis fuselage. Si la queue est assez costaud pour supporter les pinces, il n'en est pas de même pour l'avant qui est creux. J'utilise donc un élastique doublé, qui exerce moins de pression pendant le collage.

En parallèle, j'assemble le nez de la bête, comprenant le pot d'échapement sur babord en bas à l'avant, et le tableau de bord. Le rotord arrière est également peint.

Avant de passer à la peinture, je fixe provisoirement la porte latérale avec une pointe de patafix à l'intérieur. Double avantage : la porte sera peinte en même temps que le fuselage, et elle protège l'intérieur.

Une pointe de mastic est nécessaire entre le plat sous le cockpit et le nez. L'espacement est franchement trop marqué.

Comme pour la porte latérale, je place de la même manière le capot moteur où passera l'axe rotor principal. Après peinture, lui-même et la porte seront enlevés pour la suite du montage et les éventuelles retouches de peinture.

Peinture à l'aérographe pour l'ensemble de l'appareil, sauf une partie à l'arrière du moteur qui est peinte en blanc au pinceau.

Je suis maladroit, décidément ! j'ai perdu un hublot ! comme celui de la porte était le dernier à poser, c'est celui là que je remplace par un plastique de substitution plus mince. C'est presque aussi bien !

L'axe rotor est monté lui aussi. Il faut reconnaitre que le système Italéri est super de simplicité est d'aisance de montage. des picots sont en effet présents des deux côtés de l'extrémité "axiale" des pales. une fois collé, plus rien ne bouge et la croix est parfaite.

Peinture en noir mat des "grilles"...

... et en prime une petite vue de l'intérieur par la porte... qui n'est pas encore montée.

La pose des trains pose toujours le même soucis : deux points collés, mais il faut juger au mieux l'écartement de l'axe des roues par rapport au fuselage. L'effet élastique du vérin collé en haute à côté de la porte oblige, le temps du séchage, de bloquer l'extrémité au mieux contre le fuselage, là avec une pince en équilibre. Si ! si !c'est suffisamment lourd !

Vue des trains (sans roue) et du treuil depuis le haut par devant l'appareil.

Une petite vue du contre-rotor que j'ai inversé comme suggéré par un collègue. En effet, Italéri avait mal orienté les pâles. J'ai donc juste coupé l'axe au ras des pâles et collé de l'autre côté. Facile !

Une fois les caches enlevés, le vernis passé (Klir bien sûr), et les menus détails (antennes, marchepieds...) posés, voila ce que donne cette merveille une fois fini (sans déco cependant... pas encore, mais... patience !)

Mea culpa ! je me suis trompé de grille ! celles qu'il fallait boucher étaient les losange. J'ai donc gratté celles que j'avais bouché par erreur, en délicatesse avec une pointe de spatule à poterie, et retraité les losanges.

Pour les grilles losange babord, il semble qu'elles doivent être estompées au point de presque disparaitre. J'ai donc poncé jusqu'à ce qu'on ne les devine qu'à peine.