Descriptions

Ouai ! ras le bol des haubans cables et fils en tous genres... Je veux du simple ! faut se reposer de temps en temps, non ?

Ok, je ne baclerai pas la maquette pour autant, ne vous en faites pas :) Un si bel Azur, ce serait dommage.

Le placement de la cloison à l'arrière du poste de pilotage se loge sans problème. Il faut juste veiller à ce qu'elle reste bien droite et ne s'incline pas, la partie non collée vers l'arrière.

Positionnement du placher du poste de pilotage devant la cloison et au ras de l'avant du fuselage... pile poil ! La pate à modeler ne sert que de sécurité pour éviter le problème du paragraphe au dessus.

Bon, ok, je n'y avais pas pensé, mais les pilotes doivent bien rentrer dans la cabine avant par quelque part ! Il manque en fait l'ouverture centrale dans la cloison séparant l'arrière de l'appareil au poste de pilotage. Je démonte donc la plaque en question et répare cet oubli inexplicable de Azur.

Autre oubli dans les plans du 311, il ne semble pas y avoir de double commande à droite (source forum). Sinon, il passe par où, l'observateur avant ?

Une fois le fuselage fermé, on n'en voit pas grand chose, sauf des reflets à travers les hublots latéraux et un bout du comptoir par l'ouverture derrière le pilote.

Le temps que tout ça sèche, je prépare le demi tableau de bord, et non le complet puisque... l'observateur doit bien passer devant. Peinture blanche en façade, collage du transparent avec le dessin des compteurs, puis la plaque de photo découpe, découpée pour s'adapter au demi tableau. Tout ça collé à la cyano. .

Et inévitablement, quand on force, il y a un peu de travail de mastic et de ponçage.

Encore du temps de séchage. Je commence donc la préparation des blocs moteurs avec la pose des échappements en résine (collage cyano) et des cloisons séparant la fosse du train du compartiment moteur. Attention, il y a un sens à bien prendre en compte entre la cloison du bloc droit et celle du bloc gauche.

Une fois les blocs assemblés, on place des façades en résine qui accueilleront les hélices.

Encore un peu de mastic et de ponçage.

Il va être temps d'attaquer la mise en croix avec la pose de l'aileron arrière qui tiendra les deux dérives verticales. Attention aux plots de plastique qu'il faut bien enlever avant tout assemblage. Puis ajustement des ailes...

... qu'il n'y a plus qu'à placer sur le fuselage.

Après le montage et le masticage des ailes, je m'attaque aux deux surfaces transparentes. Le nez a beaucoup de mal à rester en place, le seul moyen que j'ai trouvé est de faire tenir l'appareil sur la queue, façon décollage navette.

Reste à placer les deux gouvernails arrières et le gros oeuvre est quasiment terminé.

Je passe donc à la peinture, aérographe bien sûr. La couche alu uni d'abord dessus...

... puis dessous. Lorsque ce sera sec (24 h environ) je passerai aux plaques orange.

D'abord, le bord d'attaque des ailes en noir.

Ensuite, les plaques oranges en bout d'ailes dessus et dessous, ainsi que le tour du fuselage arrière, devant l'aileron central arrière.

Les bandes de cache enlevées, voila ce que cela donne.

Reste à peindre le drapeau tricolore sur les dérives arrières. On repart pour une séance de cache, aidée par l'apposition de papier essuie-tout pour les surfaces relativement importantes. Je commence par le bleu sur l'avant.

Puis le blanc et le rouge suivent, et tout à l'aérographe.

Vue après enlèvement des caches.

Occupons nous du dessous. Les trains se passent un peu en force dans les nacelles, mais du coup, ils tiennent plutôt bien. Pour les verins qui les relient à l'avant de la fosse, j'ai du les maintenir avec des cure-dents le temps que la colle prenne bien, car ils ont tendance à ne pas rester à leur place (loi de la pesanteur :)).

Après la pose des antennes diverses dessous, il faut s'occuper du dessus, avec les fils d'antennes. Je m'aide en perçant un petit trou dans les dérives (du 0,3 mm). Ensuite cyano à l'extrémité du fil et on le glisse dans le trou.

Une fois bien pris (je compte 10 mn, parcesque les 10 secondes de la pub, c'est pas toujours vrai, sauf pour les doigts), il faut les maintenir sur les antennes derrière le cockpit le temps que la cyano prenne, donc patience et pas de tremblement (voir commentaire supra).

Une fois bien sec, il ne reste plus qu'à couper les fils qui depassent avec un petit ciseau (la pince à couper la photodécoupe va très bien pour cette opération).

Zut, je ne retrouve plus les feux de position ventral et dorsal. J'ai réussi à étirer du plastique transparent, je vais essayer de les remplacer comme ça. Un peu de peinture rouge et blanche sur les bases qui seront collées.

Il ne restera plus qu'à poser les décalcos. Vous avez vu la loupiote ? si, en arrière des deux antennes !