Descriptions

A l'instar de celui de la gendarmerie, j'avais fait il y a quelques temps l'Alouette III de la sécurité civile. La modernité entrera dans mes vitrines avec ce nouvel hélico, l'EC-145. La boite est neuve, achetée en magasin, les pièces sont de bonne qualité.

La planche de décalcos est moins chargée que celle de la gendarmerie. J'espère qu'ils seront également moins difficiles à placer.

Beaucoup de peinture, un petit repérage s'impose, permettant par la suite de trouver le bon code couleur, préconisé sur les plans.

Je préfère repasser toute la grappe jaune à la peinture jaune avec l'aérographe, bien conscient qu'il y aura des retouches à faire après montage. Les grands aplats comme le plancher et le plafond sont également peints à l'aéro avec deux gris différents. Les autres petites pièces sont faites au pinceau.

Mais je ne vois pas comment passer le noir ensuite une fois monté. Ça me semble quand même plus facile comme ça.

Début du montage du poste de pilotage en bout du plancher. Pas de difficulté particulière.

Les éléments intérieurs sont tous fixés sur le plancher, sauf la banquette arrière droite qui ne sera placée qu'après, directement dans le fuselage assemblé.

Il faut placer bien sûr les parties vitrées sur les demis fuselages (colle clear cement de rigueur) avant d'assembler les deux morceaux ensemble.

Une fois sec, il ne reste plus qu'à insérer par l'avant le plafond, puis le plancher préparé préalablement.

Bien que ces vues soient prises de l'arrière de l'appareil, le montage se fait par devant, sauf les banquettes qui se mettent ultérieurement et par l'arrière.

Vue de la porte latérale gauche.

Restent à placer les deux pilotes et le nez vitré avec son appendice supplémentaire (par rapport à celui de la gendarmerie qui ne l'a pas), les essuie-glaces et le décalco de plafond qui sera absolument invisible une fois le nez en place.

Le nez vitré est posé, collé au Clear Cement, ainsi que sa "casquette".

J'assemble le capot moteur qui s'ajuste parfaitement. Je tiens les deux partie avec une pince quand même, au cas où...

Le placer sur le toit de l'hélico est nettement moins évident. Il faut le maintenir serré (pince à l'arrière et élastique tendu sur l'avant) pour qu'il reste en contact avec le fuselage.

Je passe ensuite à la peinture rouge sur le dessus de l'appareil (pas de décalco pour cette partie là, pas plus que pour le haut de la queue peinte précédemment). Photo du résultat une fois les caches enlevés. J'en ai profité pour rougir la partie arrière extérieure des deux dérives.

Les décalcos du dessous m'ayant pas mal agacé sur celui de la gendarmerie, j'opte pour les placer sur celui là avant d'avancer davantage le montage. Finalement ils se placent plutôt bien.

Il faudra toutefois repasser de la peinture rouge aux abords des portes arrière où le jaune se voit encore, mais ce n'est pas grand chose à faire.

Il est temps (pour que le reste sèche) de monter les rotors, le principal dont les pales sont prises entre deux pièces en croix. Celle du dessous a des ergots dans lesquels viennent d'embrocher l'extrémité des pales. Il ne reste plus qu'à recouvrir avec la deuxième pièce collée. C'est simple et efficace.

Plus que pour les patins sur lesquels l'hélico sera posé : les deux parties en haut de part et d'autre ne tiennent que sur deux pates fines posées sur les arceaux. Il faut faire confiance à la colle pour que ça tienne et surtout ne pas y toucher avant le séchage complet.

En attendant, j'applique le principe désormais adopté pour tenir les portes ouvertes sans les coller : la pate à modeler ! Il ne restera plus qu'à "appuyer" la porte contre le fuselage quand tout le reste sera monté.

Je commence par placer les patins. Afin que l'hélico reste stable, je le leste à l'avant (j'ai rien trouvé de mieux que ce rouleau de cache). Il ne restera plus qu'à placer les antennes diverses, les portes arrière (en position ouverte), le rotor principal et les restes de décalcos.