Descriptions

Me revoilà avec le T-28 Trojan Fennec. Je n'ai rien vu sur ce forum au sujet de cet appareil, serais-je le premier à le faire ?

Commençons classiquement par le matériel "sortie de boite".

Dans l'ordre, restons discipliné, je commence par le bloc moteur.
Repérons d'abord les pièces détachées.

Puis, l'assemblage effectué, sans difficulté notable. Le système de l'hélice est particulièrement astucieux et permet un mouvement sans heurt.

Point 2 du montage, l'habitacle.

La peinture noire est passée uniformément sur toute la coque, les tableaux de bord et les manches.
Une fois sec, j'ai ensuite graté avec le scalpel pour faire apparaitre les reliefs des instruments. Il restera à "mater" l'ensemble, une fois monté.

21/10/2007

L'épisode 4 est l'assemblage du fuselage. Le plan indique la nécessaité d'un lestage de 9 gr. J'ai des plombs de 10, ce qui conviendra très bien. Je colle d'abord la nacelle de pilotage.

Puis, je fixe le poids grâce à de la pate à modeler sur le vide à l'avant de l'habitacle.

Je commence à simuler la mise en place de la partie inférieure de l'aile.

Selon la logique du plan, j'ai un trou de chaque côté du fuselage à l'avant du bord des ailes, et l'arrière chevauche d'un bon cm sur la queue.

HELLER, C'EST DES BUSES ! ! !
Alors que le plan n'indique rien de spécial, il faut en fait insérer le logement du train avant DANS le nez du fuselage. Résultat, le plomb coince !

25/10/2007

Je me lance dans une opération de chirurgie à fuselage ouvert pour couper le plomb sans devoir tout redémonter. Si je ne casse rien, j'aurai de la chance... et j'en ai... ouf !

L'opération a durée 10 mn. Heureusement que c'est mou, le plomb. avec une petite pince à couper, patiemment... Le bout enlevé est repositionné à coté de l'autre pour maintenir le lest d'origine. C'est une véritable boucherie, mais ça se présente bien.

Finalement, heureusement que je n'ai pas utilisé de cyano pour le plomb, sinon, je cassais tout !

Je ne vois pas l'utilité de ce plot à l'avant, donc je l'enlève, et là... tout s'emboîte... presque parfaitement.

Je ne m'en sort pas trop mal sur ce coup là !

Mon coup de gueule ne s'applique qu'à cette phase du montage et du plan. Elle ne doit pas être interprétée comme une généralité envers cette marque.
Après Mach2, reconnaissons que Heller, c'est les vacances.

La première ébauche du bleu du dessous : mélange de 15 parts de blanc et 2 de bleu "france". C'est toujours de l'acrylique, et ça couvre plutôt bien.

Pour le dessous, les pré-ombrages ne se voient plus, effectivement. Je les retraite au jus noir (légèrement brillant), et je m'essaie au drybrush.

En revanche dessus, la couleur sable et le blanc ont du mal !

Je commence toujours par la couleur dominante (ici le sable), puis les zones claires (le blanc) pour finir par le foncé (marron). Il est toujours plus difficile de recouvrir du foncé que du clair.
Pour les couleurs claires, il faudra passer 3 couches.
Les peintures sable et marron sont brillantes, je devrai les matter.

Le bloc moteur est installé, et n'a pas posé de problème.

Comme je l'ai dit précédemment, je dois "calmer" le côté brillant de la peinture. J'aime bien utiliser le Klir comme verni (depuis que j'ai fait sa "connaissance"). Mais le Klir sur du brillant, ça reste brillant. Le mat c'est trop mat. Mais du clir sur du mat, ça donne un léger satiné très agréable.
C'est ce que je fais : je mate d'abord, puis quand c'est sec, le Klir.

C'est clair, non ?

Une fois sec, il n'y a plus qu'à découper les quatre éléments qui vont bien (les 5mm) et de les coller le plus droit possible sue les extrémités de tubes.